Bonjour à tous,
Juste un mot pour vous dire que mon troisième roman Quai des moribonds est enfin disponible en librairie. Que dire de plus à tous ceux qui l’attendaient avec impatience, sinon de se précipiter chez le libraire le plus proche et d’arracher sans plus attendre un des exemplaires qu’ils trouveront au rayon policier. Car, qu’on se le dise, vu la frénésie qui plane autour de ce nouveau titre, je ne suis pas sûr qu’il y en ait pour tout le monde…
Tout de même, avant de prendre vos jambes à votre cou, prenez encore quelques secondes pour lire le résumé ci-dessous et visualiser la couverture. Mémorisez-la bien, cela pourra vous permettre de la repérer plus rapidement une fois chez ledit libraire, et de gagner, peut-être, quelques précieuses secondes afin de devancer un autre lecteur, lui-même en quête de ce nouveau roman. Car, qu’on se le dise, vu la frénésie qui plane autour de ce nouveau titre, je ne suis pas sûr qu’il y en ait pour tout le monde… (Mais je l’ai peut-être déjà dit, ça, non ?)
Bref, voici le résumé et la couverture :
Hiver 1898, à Lyon. Plusieurs prostituées sont retrouvées mortes, vidées de leur sang, sur les quais de la cité des brumes. La police, dépassée, fait appel au professeur Lazard et à son assistant, Léonard Brisemert, pour l’aider dans cette enquête des plus troublantes. Les deux hommes vont se lancer à la poursuite du tueur, dans les ruelles lyonnaises, sur les routes d’Auvergne, en passant par Paris et jusqu’à Londres, dans le quartier de Whitechapel. Au fil de l’histoire, les deux enquêteurs vont tour à tour croiser quelques personnages sans foi ni loi sortis tout droit des bas-fonds de la prostitution, mais aussi l’un des descendants directs de Vlad Tepes, voïvode roumain ayant sévi au XVe siècle, surnommé Vlad l’Empaleur pour sa cruauté légendaire, un étrange cocher peu bavard, une poignée d’illuminés assoiffés de sang humain et un débonnaire agent de Scotland Yard. Mais qui recherchent-ils vraiment ? Une secte d’adeptes du vampirisme ? Un tueur solitaire inspiré par le célèbre roman de Bram Stocker, Dracula, paru à Londres un an plus tôt ? Leur rencontre avec l’auteur anglais en personne, alors gérant du Lyceum Théâtre de Londres, pourra-t-elle aider les enquêteurs ? Le mystère plane tandis que les meurtres s’accumulent…
Avec ce nouveau roman de Christophe Cornillon, au style très « fin du XIXème », le lecteur se retrouve plongé au cœur d’un univers sombre et déroutant, suivant les deux détectives au fil d’une énigme digne de leurs illustres prédécesseurs, le chevalier Dupin d’Edgar Poe et le fameux Sherlock Holmes d’Arthur Conan Doyle. Une étrange enquête hantée par l’ombre angoissante du Dracula de Bram Stocker.

Allez, bande de petits veinards, courez maintenant.
Sinon, j’y pense : pour ceux qui n’ont pas envie de courir, vous pouvez aussi tenter votre chance sur Internet…. Enfin, bon, faites comme vous voulez, après tout !
Bonne lecture à tous et à très bientôt
Christophe Cornillon